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Canadian Ethnic Studies ; 54(1):1-28, 2022.
Article in English | ProQuest Central | ID: covidwho-1679032

ABSTRACT

Dans cet article, nous examinons comment le degré d'assimilation et d'acculturation des jeunes réfugiés, l'insécurité alimentaire, la resilience, et les liens sociaux affectent la santé mentale des jeunes réfugiés et immigrants récents dans une ville de taille moyenne pendant la pandémie de COVID-19. Les données de cette étude sont basées sur un échantillon de nouveaux arrivants, principalement des réfugiés, interrogés entre juillet et novembre 2020. Les indicateurs de mauvaise santé mentale incluent la fréquence â laquelle les répondants se sont sentis tristes, stressés, confus, isolés, impuissants, nerveux, désespérés ou déprimé pendant la pandémie de COVID-19. L'analyse multivariée souligne l'importance de la résilience et de la densité familiale (le nombre de freres et sœurs) pour la diminution des problemes de santé mentale, cependant que l'insécurité alimentaire et la durée de résidence au Canada ont accru la mauvaise santé mentale. Parmi ces facteurs, l'insécurité alimentaire suivie par la résilience étaient les prédicteurs les plus forts de la santé mentale des jeunes réfugiés et immigrants.Alternate :In this paper, we examine how the degree of newcomer youth assimilation and acculturation, food insecurity, resilience, and social connections affect the mental health of recent refugee and immigrant youth in a mid-sized city during the COVID-19 pandemic. The data for this study are based on a sample of newcomers, mostly refugees, surveyed between July and November 2020. Indicators of mental health problems include the frequency in which respondents felt sad, stressed, confused, isolated, helpless, nervous, hopeless, or depressed during the COVID-19 pandemic. Multivariate analysis points to the importance of resiliency and family density (i.e., number of siblings) for decreasing mental health problems, while food insecurity and length of residency in Canada increased them. Among these, food insecurity followed by resiliency were the strongest predictors of refugee and immigrant youth's mental health.

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